Les membres fondateurs
Les membres fondateurs étaient au nombre de 4 :
- Gérard MOUTON
- Jean-Louis MOUTON
Le 12 janvier 2025 nous déplorons le décès de Gérard MOUTON.
Son frère, Jean-Louis, nous a fait part du message suivant :
Adieu à G1
Gérard Mouton dit G1 vient de nous quitter le 12 janvier à l’âge 79ans. Voilà trois ans qu’il vivait avec un très gros handicap, lui le super bricoleur, il ne voyait plus. Ses mains étaient encore en bonne santé et ne demandaient que ça, mais rien n’était possible avec une vue défaillante. Lui toujours actif, il était privé de ses activités favorites de modéliste comme le montage de kits ou divers super détaillages de modèles.
Sa passion des chemins de fer a occupé toute sa vie depuis son plus jeune âge. Passion qu’il aimait partager, voilà pourquoi il a cherché à fonder une association de modélisme ferroviaire. Il y est arrivé avec deux autres personnes et moi, son frère, à créer le CCAC et ensuite à le développer avec des adhérents de plus en plus nombreux.
S’il y a bien une personne pour incarner le CCAC, c’est bien Gérard puisqu’il a été à l’origine de sa création mais surtout de son développement. Toujours plein d’idées originales, il a fait avancer notre club vers la célébrité et la reconnaissance du milieu des modélistes ferroviaires. Sans lui le CCAC ne serait pas ce qu’il est aujourd’hui. Sans lui nous n’aurions pas les réseaux en O, HO et HOm tels qu’ils sont. Lui qui n’avait pas fait de grandes études, il maîtrisait très bien la menuiserie, la mécanique, l’électronique et l’informatique. Il avait appris toutes ces techniques tout seul. Cela m’a toujours étonné.
Comme une association ne suffisait à assouvir sa passion et occuper sa retraite, il a adhéré au Rambolitrain pour travailler sur le réseau en O en y apportant tout son savoir.
Ce n’est pas seulement un frère que je perds mais un compagnon avec qui j’ai partagé beaucoup d’activités et de voyages pour découvrir les chemins de fer.
Tous tes copains du CCAC et du Rambolitrain te disent : adieu mon Gégé. Sois heureux au paradis des trains, s’il existe.
Ton frère, Jean-Louis